Fishbach + Bernhari
Le Cercle - Lab Vivant présente

Fishbach + Bernhari

Événement en personne
15 juin 2017
20h00 – 0h00 / Entrée: 19h00

228, St-Joseph Est, Québec, QC, Canada
Pour plus d'information à propos de cet événement, veuillez contacter Le Cercle à sekou@le-cercle.ca.

Achat de billets

On n’avait pas vu pareil envol depuis longtemps. Victorieuse aux Inouïs du Printemps de Bourges, lauréate du Fair, chargée par les Transmusicales de Rennes de leur création annuelle.... Fishbach est partout, et partout elle trouble. Dans une époque où la pop s’acharne à être sage et droite, elle ose le bizarre, la diagonale, la torsion mais sans jamais perdre de vue les évidences de la séduction mélodique ou la clarté des sentiments. Révélée il y a tout juste un an avec l’intense single Mortel, cette jeune chanteuse impose d’emblée un chant particulier, à la fois surprenant et familier. On croit parfois au retour du slow rétro-futuriste, à des rêveries 80s

Mais avec son premier album, Fishbach fait exploser un talent hors norme, qu’il est impossible d’associer à une tendance. Ses sortilèges n’appartiennent qu’à elle et suscitent d’étranges sensations. Peut-être parce qu’elle n’affectionne rien de plus que la limite : « Je ne sais pas ce qui est le bon et le mauvais goût, avoue-t-elle. J’aime être à la limite dans la justesse de la voix, dans les sons de synthé, dans le sens des textes ». Elle sait d’ailleurs que certains choix de production susciteront des frissons d’aise chez certains et en surprendront d’autres : « Quand j’ai commencé à faire de la musique sur mon iPad, les seuls sons de clavier disponibles étaient stridents, frontaux, sur le fil. » Alors, au sortir de sa première expérience de groupe – un duo punk –, elle a décidé de creuser cette direction, un chemin autarcique et têtu dans lequel elle prend à rebrousse-poil les bienséances et les clichés.

Bernhari

Moins de deux ans après la parution d’un premier disque encensé par la critique, nommé deux fois au Gala de l’ADISQ et gagnant du prix Album Indie Rock de l’année au GAMIQ, Bernhari revient se brûler aux feux de la rampe avec un album sombre, pop et poétique, qui sonne comme un croisement entre la nouvelle chanson française, la musique d’un film de David Lynch et du bon vieux glam rock. C’est épique, mélancolique, post-romantique, sur fond de claviers intergalactiques et de riffs de guitares hydroélectriques.

Réalisé par Emmanuel Ethier (Chocolat, Peter Peter), arrangé par Bernhari, Emmanuel Ethier et Shawn Cotton, enregistré par Francois-Régis Pagé, mixé par Mathieu Parisien (Karkwa, Patrick Watson), Île Jésus nous transporte dans un monde sombre où l’amour est roi, et la mort, reine. 

L’artiste remporte une fois de plus le prix de l’Album de l’année Indie Rock au GAMIQ, est en lice au Prix Félix-Leclerc et Île Jésus s'est retrouvé en nomination au Gala de l’ADISQ 2016 dans la catégorie Album de l'année – Alternatif. Entre temps, l’auteur-compositeur-interprète s’est produit sur de nombreuses scènes prestigieuses, notamment à South by Southwest, à Osheaga, aux FrancoFolies de Montréal, au Festival d’été de Québec et à Paris lors du festival Aurores Montréal.

À l'achat d'un billet de spectacle en prévente, Le Cercle vous offre 20% de rabais pour un souper complet au restaurant du Cercle (valide en tout temps, non seulement le soir du spectacle). Ce forfait est valide sur présentation d'une preuve d'achat ou du billet uniquement. Réservez maintenant!

Vérification des disponibilités en cours...

On n’avait pas vu pareil envol depuis longtemps. Victorieuse aux Inouïs du Printemps de Bourges, lauréate du Fair, chargée par les Transmusicales de Rennes de leur création annuelle.... Fishbach est partout, et partout elle trouble. Dans une époque où la pop s’acharne à être sage et droite, elle ose le bizarre, la diagonale, la torsion mais sans jamais perdre de vue les évidences de la séduction mélodique ou la clarté des sentiments. Révélée il y a tout juste un an avec l’intense single Mortel, cette jeune chanteuse impose d’emblée un chant particulier, à la fois surprenant et familier. On croit parfois au retour du slow rétro-futuriste, à des rêveries 80s

Mais avec son premier album, Fishbach fait exploser un talent hors norme, qu’il est impossible d’associer à une tendance. Ses sortilèges n’appartiennent qu’à elle et suscitent d’étranges sensations. Peut-être parce qu’elle n’affectionne rien de plus que la limite : « Je ne sais pas ce qui est le bon et le mauvais goût, avoue-t-elle. J’aime être à la limite dans la justesse de la voix, dans les sons de synthé, dans le sens des textes ». Elle sait d’ailleurs que certains choix de production susciteront des frissons d’aise chez certains et en surprendront d’autres : « Quand j’ai commencé à faire de la musique sur mon iPad, les seuls sons de clavier disponibles étaient stridents, frontaux, sur le fil. » Alors, au sortir de sa première expérience de groupe – un duo punk –, elle a décidé de creuser cette direction, un chemin autarcique et têtu dans lequel elle prend à rebrousse-poil les bienséances et les clichés.

Bernhari

Moins de deux ans après la parution d’un premier disque encensé par la critique, nommé deux fois au Gala de l’ADISQ et gagnant du prix Album Indie Rock de l’année au GAMIQ, Bernhari revient se brûler aux feux de la rampe avec un album sombre, pop et poétique, qui sonne comme un croisement entre la nouvelle chanson française, la musique d’un film de David Lynch et du bon vieux glam rock. C’est épique, mélancolique, post-romantique, sur fond de claviers intergalactiques et de riffs de guitares hydroélectriques.

Réalisé par Emmanuel Ethier (Chocolat, Peter Peter), arrangé par Bernhari, Emmanuel Ethier et Shawn Cotton, enregistré par Francois-Régis Pagé, mixé par Mathieu Parisien (Karkwa, Patrick Watson), Île Jésus nous transporte dans un monde sombre où l’amour est roi, et la mort, reine. 

L’artiste remporte une fois de plus le prix de l’Album de l’année Indie Rock au GAMIQ, est en lice au Prix Félix-Leclerc et Île Jésus s'est retrouvé en nomination au Gala de l’ADISQ 2016 dans la catégorie Album de l'année – Alternatif. Entre temps, l’auteur-compositeur-interprète s’est produit sur de nombreuses scènes prestigieuses, notamment à South by Southwest, à Osheaga, aux FrancoFolies de Montréal, au Festival d’été de Québec et à Paris lors du festival Aurores Montréal.

À l'achat d'un billet de spectacle en prévente, Le Cercle vous offre 20% de rabais pour un souper complet au restaurant du Cercle (valide en tout temps, non seulement le soir du spectacle). Ce forfait est valide sur présentation d'une preuve d'achat ou du billet uniquement. Réservez maintenant!

Fishbach

On n’avait pas vu pareil envol depuis longtemps. Victorieuse aux Inouïs du Printemps de Bourges, lauréate du Fair, chargée par les Transmusicales de Rennes de leur création annuelle.... Fishbach est partout, et partout elle trouble. Dans une époque où la pop s’acharne à être sage et droite, elle ose le bizarre, la diagonale, la torsion mais sans jamais perdre de vue les évidences de la séduction mélodique ou la clarté des sentiments. Révélée il y a tout juste un an avec l’intense single Mortel, cette jeune chanteuse impose d’emblée un chant particulier, à la fois surprenant et familier. On croit parfois au retour du slow rétro-futuriste, à des rêveries 80s.

Mais avec son premier album, Fishbach fait exploser un talent hors norme, qu’il est impossible d’associer à une tendance. Ses sortilèges n’appartiennent qu’à elle et suscitent d’étranges sensations. Peut-être parce qu’elle n’affectionne rien de plus que la limite : « Je ne sais pas ce qui est le bon et le mauvais goût, avoue-t-elle. J’aime être à la limite dans la justesse de la voix, dans les sons de synthé, dans le sens des textes ». Elle sait d’ailleurs que certains choix de production susciteront des frissons d’aise chez certains et en surprendront d’autres : « Quand j’ai commencé à faire de la musique sur mon iPad, les seuls sons de clavier disponibles étaient stridents, frontaux, sur le fil. » Alors, au sortir de sa première expérience de groupe – un duo punk –, elle a décidé de creuser cette direction, un chemin autarcique et têtu dans lequel elle prend à rebrousse-poil les bienséances et les clichés.

Flora n’a jamais fait les choses comme les autres. Après qu’elle se fut un peu cherchée entre peinture, photo et petits boulots – elle quitte l’école à 15 ans - elle a la tête retournée par un concert de Patti Smith lors d’un hommage à Rimbaud à Charleville-Mézières, sa ville natale. Dans sa famille, on vit à fond, que l’on soit boucher, femme au foyer ou infirmière. Elle décide donc de franchir le pas, retranche une lettre au nom de jeune fille de sa mère et devient Fishbach, comme si le destin collectif de ces combattifs prolos ardennais était aussi une métaphore de son travail à venir. Cela fera d’elle, aussi, une interprète incandescente, théâtrale et profonde.

C’est d’ailleurs ce qui marque d’emblée à l’écoute de son album : cette voix sans âge qui résonne comme une incantation, à l’image de son premier single, Y crois-tu, troublante déclaration d’amour. Son chant, tour à tour intimiste et puissant, surprend puis très vite fascine, porté par des émotions et des thèmes – la nature et ses éléments y sont omniprésents - souvent personnels.

Mais cette jeune femme si singulière sait aussi se faire miroir, tant ses chansons se nourrissent de la vie des autres, parfois aussi de leurs mots (elle a entre autres collaboré avec Juliette Armanet sur Un autre que moi). Ses textes parlent de rupture, de suicide mais aussi d’envol, d’espérance : « Chaque chanson est un tableau, une femme que j’aurais pu être, que j’ai peut-être été ou que je serai. Il n’y a rien de plus beau que l’universalité de la variété – c’est un mot très noble pour moi ». Et même quand elle rudoie nos habitudes mentales, un trouble irrésistible naît de ce qu’elle atteint des tensions et des rugosités universelles : « On me nomme la mort / On me dit tu / On m’imagine à tort » sur l’équivoque On me dit tu ou encore « J’ai lu tous vos messages / Mais vos paroles, vos mots doux / Je m’en fous » sur la ballade Un beau langage.

Au moment d’entrer en studio, Fishbach a ouvert la porte de ses chansons créées en solitaire. Xavier Thiry et Antoine Gaillet ont retravaillé avec elle l’identité et la puissance narrative de chaque son. « Et voilà, c’est figé pour toujours ! J’aime l’idée que ces chansons disent qui je suis à vingt-cinq ans. Dans chacune, une femme différente. ». Et dans chacune s’y livre, entière mais toujours mystérieuse. Son album se nomme À ta merci. 

Bernhari

Moins de deux ans après la parution d’un premier disque encensé par la critique, nommé deux fois au Gala de l’ADISQ et gagnant du prix Album Indie Rock de l’année au GAMIQ, Bernhari revient se brûler aux feux de la rampe avec un album sombre, pop et poétique, qui sonne comme un croisement entre la nouvelle chanson française, la musique d’un film de David Lynch et du bon vieux glam rock. C’est épique, mélancolique, post-romantique, sur fond de claviers intergalactiques et de riffs de guitares hydroélectriques.

Réalisé par Emmanuel Ethier (Chocolat, Peter Peter), arrangé par Bernhari, Emmanuel Ethier et Shawn Cotton, enregistré par Francois-Régis Pagé, mixé par Mathieu Parisien (Karkwa, Patrick Watson), Île Jésus nous transporte dans un monde sombre où l’amour est roi, et la mort, reine. 

L’artiste remporte une fois de plus le prix de l’Album de l’année Indie Rock au GAMIQ, est en lice au Prix Félix-Leclerc et Île Jésus s'est retrouvé en nomination au Gala de l’ADISQ 2016 dans la catégorie Album de l'année – Alternatif. Entre temps, l’auteur-compositeur-interprète s’est produit sur de nombreuses scènes prestigieuses, notamment à South by Southwest, à Osheaga, aux FrancoFolies de Montréal, au Festival d’été de Québec et à Paris lors du festival Aurores Montréal.